• Nouvel article sur le même modèle que celui sur l'anorexie. Encore un sujet qui me tient à cœur ! Je l'avais promis à une lectrice, tout en gardant le thème secret. ;)

     

    C'est l'histoire d'un homme...

     

    Un homme qui A sûrement des problèmes

    Un homme qui cache toujours ce qu'iL ressent

    Un homme qui déCoit, et qui effrait

    Un homme qu'on aime tOut de même beaucoup

    Un homme qu'on a tendance à défendre, quelques sOient les circonstances

    Un homme maladroit, et même que c'est en partie pour ceLa qu'on le trouve attachant

    Un homme dont on voudrait éviter à tout prIx de répéter les erreurs

    Un homme qui Souffre

    Un homme qui n'adMet pas

    Un homme qui tombE

     

    Mais qu'on ne peut rattraper...

     


    votre commentaire
  •  

     

    Un matin d'octobre, Alice, flic française, se réveille sur un banc de Central Park, accrochée par des menottes à un parfait inconnu. La veille, elle faisait la fête avec ses copines sur les Champs Élysées. L'inconnu se révèle être un jazzman en concert le soir précédent, à Dublin. Comment se sont-ils retrouvés ici, à des kilomètres d'où ils se situaient la veille ? Pourquoi sont-ils attachés l'un à l'autre ? Et, surtout, pourquoi Alice a-t-elle du sang sur sa chemise ? Où est passée la balle qui manque dans son pistolet ? S'ensuit une enquête à l'aide de Seymour, un ami flic de Alice, resté en France. Il va l'aider à comprendre ce qu'il s'est passé...

    Encore une fois, on plonge dans ce livre de Musso. En vu du résumé, je n'en attendais pas moins. On vit l'histoire au même rythme qu'Alice et Gabriel, le fameux inconnu du parc. Malgré le nombre de page, l'histoire se déroule en un unique jour. On vi alors chaque détail à la minute près, en même temps que les deux protagonistes. L'intrigue nous happe, et c'est avec difficulté que l'on repose le livre pour pouvoir grappiller quelques heures de sommeil !

    Un vrai coup de cœur, un dénouement complètement inattendu (à part un détail que j'avais deviné presque dès le début !), et à couper le souffle ! Personnellement, je n'ai pas été déçue de ce livre, et, de nouveau, je suis époustouflée de la capacité de Musso à créer des histoires de ce style, qui nous passionnent jusqu'à la dernière page, sans jamais tourner en rond, et sans que le lecteur ne puisse deviner le dénouement.


    2 commentaires
  • Prix Maison de la Presse

     

    Décembre 1980. Un avion se crashe dans le Jura. Tous les passagers meurent, sauf un bébé de 3 mois, qui est retrouvée à côté de la carcasse, bien vivante. Seulement, ce soir-là, deux bébés du même âge étaient présents dans l'avion, deux petites filles aux caractères physiques assez similaires. S'ensuit une guerre opposant les deux familles concernées, chacune étant persuadée que c'est sa petite fille qui a survécu. La justice finit par trancher et confie le bébé à la famille Vitral. Cependant, l'autre famille ne se laisse pas faire et engage un détective privé, Crédule Grand-Duc, pour rétablir la vérité. Elle le paiera pendant 18 ans, jusqu'à la majorité de la petite Emilie. 18 ans de fausses pistes, d'espoirs avortés pour Crédule, jusqu'à la veille des 18 ans d'Emilie ; il a enfin découvert la vérité. Qu'il gardera pour lui à jamais, assassiné peu de temps après. Aujourd'hui, c'est à Marc, le frère d'Emilie de découvrir la vérité... 

    C'est un véritable coup de cœur ! Il prend la tête du classement de mes livres préférés. Je vous explique le pourquoi du comment :

    Dès le premier paragraphe, on est en plein cœur de l'action ; on vit le crash en direct.

    L'alternance réalité/carnet de Grand-Duc est un gros plus ; le suspense est à son comble, on ne parvient pas à lâcher le livre.

    On ne se doute de rien avant la fin ; toutes nos hypothèses s'avèrent fausses et je trouve ça plutôt très intéressant. En effet, je ne vois pas l'intérêt de livre un livre dont on a deviné la fin dès le départ. Ce qui est loin d'être le cas ici.

    On s'attache très facilement aux personnages. On comprend Marc très facilement, on vit son angoisse simultanément lorsqu'il n'a plus de nouvelles d'Emilie. On déteste Malvina en même temps que lui. On a peur en même temps que lui aussi. C'est comme si on était lui.

    L'histoire est très émouvante, nous prend aux tripes, comme aucun autre bouquin.

    BREF, je vous le conseille vivement ! Ce livre est absolument génial ! Courez vite en profiter !  


    votre commentaire
  • ENSA Nantes


    Samedi 24 mai - 8h30.

    Un nombre impressionnant de candidats patientent devant l'établissement. Petite montée de stress étant donné qu'il s'agit de mon premier vœu. Malgré le dédale quasi labyrinthique des couloirs, on trouve rapidement l'amphi 150 bis. On est classé par jury ; le numéro 24 pour moi. L'épreuve commence, le sujet est projeté mais je n'arrive pas bien lire. Heureusement, ils nous le distribuent peu après. On a 1h30 pour exprimer sous n'importe quelle forme ce que nous évoque l'une ou plusieurs des 4 photos proposées. J'invente deux histoires, c'est un peu mon point fort.

    Samedi 24 mai - 17h.

    C'est désormais l'heure de l'entretien. Ils ont du retard et le jury a changé de salle ; j'ai bien failli ne pas le trouver. Enfin, c'est mon tour. Il s'agit de deux femmes, l'une prof de sociologie, l'autre de projet. Elles sont très sympathiques et me mettent de suite à l'aise. Bizarrement, elles ne me posent aucune question sur l'architecture, ce qui n'est pas plus mal vu que je n'ai aucune connaissance qui pourraient les impressionner ; et je suis là pour apprendre. Elles me demandent de me présenter, de leur dire que ce que je vois par la fenêtre, de donner mon avis sur les immeubles... Elles semblaient très intéressées par ce que je disais et ne cessaient de hocher la tête en souriant. Bon signe ? Ensuite, on a parlé de mon épreuve écrite, qu'elles ont adoré m'ont-elles dit ! J'étais super contente que ça leur ait plus, ça a sûrement augmenté mes chances ! Enfin, elles m'ont demandé de leur dire une chose qui ferait qu'elles se souviendraient de moi. C'était LA question à ne pas louper, mais je n'avais pas trop le temps de réfléchir. J'espère avoir été convaincante dans ma réponse ; ensuite on a parlé très brièvement de mes notes, mais elles ne semblaient pas si importantes que ça à leurs yeux. Finalement, elles m'ont dit que tous les rêves se réalisent un jour (en échos à ma réponse à leur question précédente), et je suis sortie.

    Je crois que c'est l'épreuve que j'ai le mieux réussi !

    Désormais tous les entretiens sont terminés, j'attends les réponses avec impatience, sans trop savoir ce que je ferais si aucune n'est positive...


    votre commentaire
  •  

    ENSAP Lille

    (Je n'ai pas réussi à copier la photo à cause des droits d'auteurs, mais si vous voulez savoir à quoi ressemble cette école, cliquez sur le lien ci-dessus !)

    Samedi 17 mai - 15h.

    On m'avait prévenue que l'école était légèrement mal entretenue ; ce qui s'est révélé vrai. Mais l'intérieur contraste énormément avec la façade ! Murs de verre, baies vitrées, grands espaces. Donc j'ai été agréablement surprise.

    Après 30 min de préparation sur un document au choix, je passe à l'oral, de 30 min également. Les deux profs étaient aussi architectes ; ils étaient très gentils et, encore une fois, ça s'est transformé en dialogue plutôt qu'en entretien. Sauf qu'un des deux ne m'écoutait absolument pas, il jouait avec son téléphone, et dès qu'il a pu, il est sorti de la salle précipitamment. C'était sûrement pour me déstabiliser, mais tant pis ; je discutais avec l'autre.

    Je suis sortie plutôt rassurée, d'autant plus qu'ils m'ont dit que j'avais très bien expliqué le texte que j'avais choisi alors que je ne connaissais pas les architectes qui avaient écrit le texte, et que c'était un texte étudié habituellement en 4ème année !


    votre commentaire